Futile, immature et inconséquente sont les termes qui me revienne le plus souvent quand je pense à toi, Cécile.

Futile, parce que tes préocupations principales sont de cet ordre. Ta préoccupation est de plaire, d'être conforme a l'idée que l'on doit se faire de toi. Tu n'est pas menée par tes propres convictions mais tes choix sont déterminés par l'idée que tu te fais de ce que les autres vont penser de tes agissements. Du ne dira pas telle où telle choses parce que les autres vont penser que c'est mal ou que tu es plutot comme ceci que comme cela. Combien de fois t'ais je dis de ne pas penser mes réactions a ma place en ce qui te concerne. Du coup tu n'a pas a proprement parlé de point de vue, de profondeur. Tu ne doit pas comprendre pourquoi je t'en veux autant, parce que implication profonde pour toi est incompréhensible. Tes réactions sont épidermique, tu es capable de formuler quasiment immédiatement contrairement a moi ou j'ai besoin d'intégrer les choses baucoup plus longuement pour en comprendre l'embaras que cela peut me provoquer.

Immature, car pour moi ceci est un manque de maturité. Ta personalité ne va pas s'enrichir d'expérience car rien ne te touche vraiment, tout reste en surface et ne laisse que très peu de trace. Tes fameux schémas sont ancrer en toi comme des modèles indestructibles, non négociable et suttout pas poli par l'expérience. tu fais preuve d'un jusqu'au boutisme d'adolescente incapable de trouver ces propres marques alors que tu revendiques en même temps une extrème indépendance. Tu ne t'es pas émancipé du jugement de tes parents par exemple, qui reste à tes yeux les juges suprêmes. Je suis d'ailleur curieux de savoir comment tu as présenté les conditions de notre rupture à tes parents, a tes frère et soeurs et amies. A propos d'amies, tu en a deux pricipales qui s'opposent complètement, Cécile et Sandrine. Après ce que tu m'a fait, je te rapprocherai d'avantage de Sandrine, la vampe, la femme de pouvoir pleine d'idée reçu, féministe castratrice.

Inconséquente, on le déduit de ce que j'ai dit précédement. tu n'évalue pas les conséquence de tes actes, en tout cas pas ceux qui m'ont concerné. Tu a été d'une grande légèreté en oubliant que j'avais des enfants avant de t'engager auprès de moi. Comment oser m'avoir demander d'accepter d'avoir des enfants avec moi avant d'être sur que c'était bien cela que tu voulais. Moi dès le début de notre relation je t'ai dis que ce serait sans doute un point difficile pour moi, sur lequel nous avions a travailler. Je l'ai fais de mon coté a tel point qu'à la fin de notre relation, j'allait imaginer jusqu'à avoir du bonheur à l'élever avec toi. Toi par contre tu n'a vu initialement aucun problème a vivre avec mes filles, quasiment sans les connaitre pour enfin de me dire que cela ne correspondait pas à ton schéma de vie, sans vraiment avoir essayer quoique ce soit pour voir mes filles autrement que comme un obstacle à ton bonheur. je trouv cela léger et inconséquent.

Légère aussi tu l'as été, quand tu m'a dit quelaue temps après notre rupture, que tu m'aimais encore et que je te manquais beaucoup, sur ce je t'ai répondu qu' il te suffisait de faire un signe pour que l' on tente de nouveau quelque chose. Sur ce plus de nouvelle, jusqu'à que je te vois au bras d'un type en ville !! n'est ce pas de la légèreté dans tes paroles ou dans l'absence de parole. Ne crois tu pas que tu avait créé en moi quel espoir que ce sont vu anéantit de nouveau quand je t'ai vu avec ce Ken.

Après cette épisode tu me permettras de douter de la profondeur des sentiments que tu n'ai jamais eu pour moi. On me dit que tu vas très mal, que tu es mal dans ta peau. J'ai du mal a le croire, tu sera si mal, peut être demnderais tu des nouvelles ou du réconfort, ou pardon ou je ne sais pas tu ferais un signe. Mais la, c'est le silence complet de l'indifférence que je ressents, et je ne pense pas me tromper. Je pense que mon souvenir, t'apporte de la culpabilité peut être mais pas de remord. Je suis même persuader que tu es fier d'avoir pris ce que tu pense être la bonne décision pour nous.

Je lutte encore avec l'envie de te faire souffrir autant que tu m'a blesser. Maintenant que mon opinion sur toi est faite il faut que j'accepte de m'être lourdement tromper à ton sujet, que j'accèpte que toi tu es tourné la page et que je ne suis plus ton problème, alors que tu reste encore beaucoup trop le mien.



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